Taho! plume de mammouth
Nombre de messages : 758 Age : 44 Localisation : Chez les dauphinois gratinés... Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mar 26 Sep - 15:18 | |
| Peroline y a lu une ellipse puisque je la laisse dans la chambre pour la récupérer devant la télé et au téléphone avec le répondeur de Thomas... | |
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Peroline Plume de Ptérodactyle
Nombre de messages : 590 Localisation : Gerland's road / Grenoble's bed Date d'inscription : 13/02/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mar 26 Sep - 15:50 | |
| Laisse tomber, tu t'es planté, c'est tout ! | |
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clo Admin
Nombre de messages : 1024 Localisation : In this curious place Date d'inscription : 17/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mar 26 Sep - 16:39 | |
| En relisant, en effet on peut y voir une ellipse vu que Péroline a écrit que la fille tente depuis trois fois d'apeller le Thomas en question. Ca se tient !!! | |
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ChiCo plume de faucon
Nombre de messages : 173 Age : 40 Localisation : Lyon ou Malakoff Date d'inscription : 13/06/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mer 27 Sep - 12:52 | |
| super tous... J'ai enfin eu le temps de lire le texte et ça sonne bien Bravo | |
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Taho! plume de mammouth
Nombre de messages : 758 Age : 44 Localisation : Chez les dauphinois gratinés... Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mer 27 Sep - 13:55 | |
| - clo a écrit:
- Ca se tient !!!
Parce que tu as osé émettre un doute sur ce point ? :modeste: | |
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clo Admin
Nombre de messages : 1024 Localisation : In this curious place Date d'inscription : 17/01/2006
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Taho! plume de mammouth
Nombre de messages : 758 Age : 44 Localisation : Chez les dauphinois gratinés... Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Jeu 28 Sep - 10:17 | |
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Taho! plume de mammouth
Nombre de messages : 758 Age : 44 Localisation : Chez les dauphinois gratinés... Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mar 31 Oct - 11:09 | |
| - Taho! a écrit:
- Pas fâchée de rentrer chez moi ! Quelle journée ! J'attrape du congélateur un de ces plats pré-cuits que j'enfourne dans le micro-onde avant de filer prendre une douche. Voilà qui va me changer les idées !
Je laisse l'eau couler un long moment. Quand je daigne sortir de ma salle de bain, j'ai l'impression de sortir du brouillard. Et pourtant, je ne fais qu'y rentrer ! Toute dégoulinante d'eau, une serviette autour de moi, j'entre dans la chambre en me séchant les cheveux, quand je découvre le mot sur le lit : « Et maintenant Pierre ! Ne cherche même pas à me contacter ! Th. » Je ne sais même plus si la flaque qui se forme sous moi vient du ruissellement de mon corps ou de mes yeux... - Peroline a écrit:
- La soirée s'annonce longue. Pour la troisième fois, j'attrape le téléphone et compose le numéro de Thomas. Bonjour, vous êtes bien sur le port.... Il ne veut plus me parler, ne veut plus me voir depuis que...
Je me sens fatiguée d'avoir tout gâché : ma vie, mon travail, mes amis... J'éteins la télévision, je n'ai envie de rien, sinon de tomber dans un sommeil profond. Je souffle rapidement sur la bougie que Pierre m'avait offerte, près du canapé, et monte l'escalier, les yeux déjà à moitié clos, l'esprit embrumé. Le sommeil ne pourra me faire que du bien.
Plus tard, dans la nuit, la couverture semble peser des tonnes. Je me tourne et me retourne dans mon lit. Et ce crépitement, d'où est-ce qu'il vient ? Quand j'ouvre les yeux, c'est la panique. Le feu. Partout. Là, chez moi. Le feu. Le feu ! - clo a écrit:
- Debout sur mon lit, je ne peux pousser aucun cri. Immenses et insatiables, les longues flammes ne cessent de lécher les murs de ma chambre. J'ai si chaud ! Mes yeux me piquent soudainement et ma gorge commence à me gratter. Il faut que je sorte au plus vite. Fébrile, je m'enroule dans ma couverture et traverse les flammes d'un bond.
Dans le couloir, je ne réfléchis plus, incapable de penser. L'escalier craque, s'il s'écroule, je suis perdue. Je descends sans sentir mon corps, ai-je crié ? En bas, impuissante, j'assiste à la pire horreur de ma vie. Ma maison se consume. Je reste un instant prostrée, observant ma bibliothèque se faire grignoter, puis mes chaises, mon canapé rouge.... Le feu s'enroule alors autour de la petite bougie sculptée de Pierre, il l'absorbe comme un bonbon. Je ne peux plus le supporter, je sors en courant, m'éloignant le plus possible de cet enfer. Les pompiers sont déjà là, je laisse glisser la couverture à mes pieds et commence à pleurer. - Nalini a écrit:
- Je regarde ma maison dévastée par l'incendie. Plus rien n'est comme avant. Et plus rien ne sera comme avant. Je suis seule au monde, maintenant. Une brise glaciale soulève ma chevelure abimée et caresse ma peau sèche. J'avance lentement vers les ruines de mon ancien foyer, sans but précis. La mélancolie envahit mon coeur. Comment tout a-t-il pu arriver là ? Je n'ai ni foyer, ni ami. Je n'ai rien. Je n'ai même plus d'argent. Mais même si j'en avais, qu'aurais-je pu faire avec ? Le bonheur ne s'achète pas.
Un mois qu'il est abandonné, on s'y remet ? | |
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clo Admin
Nombre de messages : 1024 Localisation : In this curious place Date d'inscription : 17/01/2006
| Sujet: Re: Texte en commun - 4 Mar 31 Oct - 22:49 | |
| Faut que je me le remette bien en tête mais why not ! Je verrais ça quand je serais dispo !! | |
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| Sujet: Re: Texte en commun - 4 | |
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