Texte en commun - 4

Les amis ! Youhou !

Je ne vais pas lancer un nouveau texte en commun avant que nous ayons fini le précédent, mais je tiens à signaler que j'ai une bonne idée pour le prochain !
Une fois que le texte en commun 3 sera terminé, je vous proposerai mon idée et nous aviserons alors...

Soyons patients !!

A ce rythme, ce sera pour dans 6 mois

Tu sais Péroline, tu peux le lancer hein. Rien n'empêche de faire avancer deux textes en même temps. Comme ça, si on flanche sur un, on peut relancer une idée sur l'autre etc...

Clo

Ca va etre quand meme très chaud de continuer notre histoire d'écuyer avec DEUX fins et un troisième texte...

En meme temps, nous sommes plusieurs têtes pensantes, nous y parviendrons peut-etre...

Vas y Péroline! Balance, nous verrons bien!

Ztn

Okay ! Alors voilà.

Me disant que j'étais une folle invétérée, j'avais envie de vous proposer un truc de fou malade, tu vois, mais vraiment genre : wahou !.

Je propose un "texte en commun en flash-back" !
Donc le premier à poster nous donnera la fin de l'histoire et chaque nouveau message devra remonter un peu plus vers le début (c'est-à-dire le lancement de l'intrigue, la présentation des personnages...). Je crois que ça peut vraiment être intéressant ! Et puis surtout très très marrant...

Sooooo : what do you think ?

Moi je dis OK, mais perso je vais déjà m'atteler aux "flash back" perso avant, pour voir ce que ça donne...

Clo

Bon voici le début (ou plutôt la fin), j'espère que c'est gut ^^

Je regarde ma maison dévastée par l'incendie. Plus rien n'est comme avant. Et plus rien ne sera comme avant. Je suis seule au monde, maintenant. Une brise glaciale soulève ma chevelure abimée et caresse ma peau sèche. J'avance lentement vers les ruines de mon ancien foyer, sans but précis. La mélancolie envahit mon coeur. Comment tout a-t-il pu arriver là ? Je n'ai ni foyer, ni ami. Je n'ai rien. Je n'ai même plus d'argent. Mais même si j'en avait, qu'aurais-je pu faire avec ? Le bonheur ne s'achète pas.

Oh la belle idée ! Tu commences fort toi !

Hello Nalini !

Bienvenue tout d'abord et bravo pour ce bon début !

Perso, je serais sans doute plus présente en septembre car là je bosse et j'ai des soucis d'Internet...snif....

La plume de mouche ira loin mes amis!!

C'est un très bon début de fin, qui reste ouvert, tu donnes juste les éléments qui faut pour les suivants et en prime, c'est très bien écrit!!

Toute la fierté de mes chandelles Miss Nalini!

Ztn

PS: Ton prénom est très beau, ça te dérangerait de nous dire d'où il vient et s'il a une signification particulière??

(HS : Mon prénom vient d'Inde, car ce sont en partie mes origines, pour certains il veut dire "déesse des arts" mais j'ai aussi vu "lotus" ^_-)

Oh ! Déesse des Arts !

En tout cas, dans l'Art d'écrire tu te débrouilles bien !

Nalini a écrit:

Je regarde ma maison dévastée par l'incendie. Plus rien n'est comme avant. Et plus rien ne sera comme avant. Je suis seule au monde, maintenant. Une brise glaciale soulève ma chevelure abimée et caresse ma peau sèche. J'avance lentement vers les ruines de mon ancien foyer, sans but précis. La mélancolie envahit mon coeur. Comment tout a-t-il pu arriver là ? Je n'ai ni foyer, ni ami. Je n'ai rien. Je n'ai même plus d'argent. Mais même si j'en avait, qu'aurais-je pu faire avec ? Le bonheur ne s'achète pas.

Debout sur mon lit, je ne peux pousser aucun cri. Immenses et insatiables, les longues flammes ne cessent de lécher les murs de ma chambre. J'ai si chaud ! Mes yeux me piquent soudainement et ma gorge commence à me gratter. Il faut que je sorte au plus vite. Fébrile, je m'enroule dans ma couverture et traverse les flammes d'un bond.
Dans le couloir, je ne réfléchis plus, incapable de penser. L'escalier craque, s'il s'écroule, je suis perdue. Je descends sans sentir mon corps, ai-je crier ?
En bas, impuissante, j'assiste à la pire horreur de ma vie. Ma maison se consume. Je reste un instant prostrée, observant ma bibliothèque se faire grignoter, puis mes chaises, mon canapé rouge....
Le feu s'enroule alors autour de la petite bougie sculptée de Pierre, il l'absorbe comme un bonbon. Je ne peux plus le supporter, je sors en courant, m'éloignant le plus possible de cet enfer.
Les pompiers sont déjà là, je laisse glisser la couverture à mes pieds et commence à pleurer.

Inutile de dire que c'est assez dur de raccorder avec la suite...J'ai fais ce que j'ai pu !!

Next !

Franchement, c'est pas mal, hein ! En le lisant, je me suis aperçue que finalement, le principe du flash back était quand même assez dur...

Toutes mes ficelles de caleçon de Taho! pour ce début plus qu'alléchant... Et puis, les uniformes, moi...

Ouais idem que la Péro, sauf pour les caleçons de Taho! ...

Les ficelles des miens ça te va??

Ztn

Oh yeah !!

D'autant que généralement, quand je le vois, le Taho! ne porte pas de caleçon...

Nalini a écrit:

Je regarde ma maison dévastée par l'incendie. Plus rien n'est comme avant. Et plus rien ne sera comme avant. Je suis seule au monde, maintenant. Une brise glaciale soulève ma chevelure abimée et caresse ma peau sèche. J'avance lentement vers les ruines de mon ancien foyer, sans but précis. La mélancolie envahit mon coeur. Comment tout a-t-il pu arriver là ? Je n'ai ni foyer, ni ami. Je n'ai rien. Je n'ai même plus d'argent. Mais même si j'en avait, qu'aurais-je pu faire avec ? Le bonheur ne s'achète pas.

clo a écrit:

Debout sur mon lit, je ne peux pousser aucun cri. Immenses et insatiables, les longues flammes ne cessent de lécher les murs de ma chambre. J'ai si chaud ! Mes yeux me piquent soudainement et ma gorge commence à me gratter. Il faut que je sorte au plus vite. Fébrile, je m'enroule dans ma couverture et traverse les flammes d'un bond.
Dans le couloir, je ne réfléchis plus, incapable de penser. L'escalier craque, s'il s'écroule, je suis perdue. Je descends sans sentir mon corps, ai-je crier ?
En bas, impuissante, j'assiste à la pire horreur de ma vie. Ma maison se consume. Je reste un instant prostrée, observant ma bibliothèque se faire grignoter, puis mes chaises, mon canapé rouge....
Le feu s'enroule alors autour de la petite bougie sculptée de Pierre, il l'absorbe comme un bonbon. Je ne peux plus le supporter, je sors en courant, m'éloignant le plus possible de cet enfer.
Les pompiers sont déjà là, je laisse glisser la couverture à mes pieds et commence à pleurer.

La soirée s'annonce longue. Pour la troisième fois, j'attrape le téléphone et compose le numéro de Thomas. Bonjour, vous êtes bien sur le port.... Il ne veut plus me parler, ne veut plus me voir depuis que...
Je me sens fatiguée d'avoir tout gâché : ma vie, mon travail, mes amis... J'éteins la télévision, je n'ai envie de rien, sinon de tomber dans un sommeil profond. Je souffle rapidement sur la bougie que Pierre m'avait offerte, près du canapé, et monte l'escalier, les yeux déjà à moitié clos, l'esprit embrumé. Le sommeil ne pourra me faire que du bien.

Plus tard, dans la nuit, la couverture semble peser des tonnes. Je me tourne et me retourne dans mon lit. Et ce crépitement, d'où est-ce qu'il vient ? Quand j'ouvre les yeux, c'est la panique. Le feu. Partout. Là, chez moi. Le feu. Le feu !

Hmmm, une petite ouverture en début de texte.... Qui va s'y engouffrer ?

Bravo Péroline ! Décidément tu es en jambe en ce moment !

Peroline a écrit:

D'autant que généralement, quand je le vois, le Taho! ne porte pas de caleçon...

Je confirme...

Merci, la Clo ! Je me sentais hier au soir dans une foultitude d'idées à développer...

Et Taho! :

Taho! a écrit:

Peroline a écrit:

D'autant que généralement, quand je le vois, le Taho! ne porte pas de caleçon...

Je confirme...

Vous êtes impayables tous les deux ! Je dirais même plus "indécrottables" !!

Pas fâchée de rentrer chez moi ! Quelle journée ! J'attrape du congélateur un de ces plats pré-cuits que j'enfourne dans le micro-onde avant de filer prendre une douche. Voilà qui va me changer les idées !
Je laisse l'eau couler un long moment. Quand je daigne sortir de ma salle de bain, j'ai l'impression de sortir du brouillard. Et pourtant, je ne fais qu'y rentrer ! Toute dégoulinante d'eau, une serviette autour de moi, j'entre dans la chambre en me séchant les cheveux, quand je découvre le mot sur le lit :
« Et maintenant Pierre !
Ne cherche même pas à me contacter !
Th. »
Je ne sais même plus si la flaque qui se forme sous moi vient du ruissellement de mon corps ou de mes yeux...

Peroline a écrit:

La soirée s'annonce longue. Pour la troisième fois, j'attrape le téléphone et compose le numéro de Thomas. Bonjour, vous êtes bien sur le port.... Il ne veut plus me parler, ne veut plus me voir depuis que...
Je me sens fatiguée d'avoir tout gâché : ma vie, mon travail, mes amis... J'éteins la télévision, je n'ai envie de rien, sinon de tomber dans un sommeil profond. Je souffle rapidement sur la bougie que Pierre m'avait offerte, près du canapé, et monte l'escalier, les yeux déjà à moitié clos, l'esprit embrumé. Le sommeil ne pourra me faire que du bien.

Plus tard, dans la nuit, la couverture semble peser des tonnes. Je me tourne et me retourne dans mon lit. Et ce crépitement, d'où est-ce qu'il vient ? Quand j'ouvre les yeux, c'est la panique. Le feu. Partout. Là, chez moi. Le feu. Le feu !

clo a écrit:

Debout sur mon lit, je ne peux pousser aucun cri. Immenses et insatiables, les longues flammes ne cessent de lécher les murs de ma chambre. J'ai si chaud ! Mes yeux me piquent soudainement et ma gorge commence à me gratter. Il faut que je sorte au plus vite. Fébrile, je m'enroule dans ma couverture et traverse les flammes d'un bond.
Dans le couloir, je ne réfléchis plus, incapable de penser. L'escalier craque, s'il s'écroule, je suis perdue. Je descends sans sentir mon corps, ai-je crié ?
En bas, impuissante, j'assiste à la pire horreur de ma vie. Ma maison se consume. Je reste un instant prostrée, observant ma bibliothèque se faire grignoter, puis mes chaises, mon canapé rouge....
Le feu s'enroule alors autour de la petite bougie sculptée de Pierre, il l'absorbe comme un bonbon. Je ne peux plus le supporter, je sors en courant, m'éloignant le plus possible de cet enfer.
Les pompiers sont déjà là, je laisse glisser la couverture à mes pieds et commence à pleurer.

Nalini a écrit:

Je regarde ma maison dévastée par l'incendie. Plus rien n'est comme avant. Et plus rien ne sera comme avant. Je suis seule au monde, maintenant. Une brise glaciale soulève ma chevelure abimée et caresse ma peau sèche. J'avance lentement vers les ruines de mon ancien foyer, sans but précis. La mélancolie envahit mon coeur. Comment tout a-t-il pu arriver là ? Je n'ai ni foyer, ni ami. Je n'ai rien. Je n'ai même plus d'argent. Mais même si j'en avais, qu'aurais-je pu faire avec ? Le bonheur ne s'achète pas.

Pas mal, juste une titi peu dommage pour la télé éteinte dans le texte de Péroline mais qui n'est pas mentionné dans le tien...C'est un détail certes mais qui a son importance !

En tout cas cet exercice est chouette !!!!!!!!!!!!!!!!!