Texte en commun - 3

Moi aussi je suis dans la course ! C'est juste que, pour payer ma connexion internet, je dois gagner des sous, et pour gagner des sous, je dois trouver du boulot, et pour trouver du boulot etc etc...

Donc je ne produis plus beaucoup en ce moment.

Mais je reviens vite !

Et si ta connexion Internet ne restait pas bloquée à l'étape 2...

Je reprends la suite de Taho! qui avait repris la mienne.

Et alors que Vaudeka s'apprêtait à me révéler le secret de la guérison de sa fille, Agneva se redresse brusquement et plonge ses yeux dans les miens. Au fond, j'y lis la colère et la tristesse.
- Vous ne serez jamais assez brave pour tenter ce périple. Je vous remercie de ce que vous avez fait, mais vous engager davantage dans ma vie serait une folie. Pour vous comme pour moi.

Je n'ose dire mot, estomaqué.

C'est court, mais j'ai des étudiants de la Fémis qui doivent être en train de m'attendre, donc.... C'était juste histoire de relancer un peu le truc....

tu en fais partie de la fémis ? ou tu les connais comme ça ?
parce que c'est une des écoles que j'aimerai faire c'est fou !

Alors Anonia, première chose : bon courage et bonne chance !!

Je ne suis pas à la fémis (grand dieu !) mais en tant qu'étudiante en cinéma, j'ai réussi à décrocher (grâce à mon sourire implacable... ) un poste comme guide stagiaire à l'Institut Lumière à Lyon, haut lieu du 7ème art, que je te conseille d'ailleurs de visiter si jamais le cinéma t'intéresse parce qu'on y apprend pleins de choses....

Je ne suis pas fondamentalement contre la fémis, mais en général, la plupart des gens qui sortent de cette école ont vraiment pris la grosse tête.... Mais je ne peux pas nier que, malgré tout, c'est une bonne formation technique, même si, selon moi, ils te forment quand même pour un moule un peu rigide et trop attendu...

Message à Clo : pardon pour l'emplacement de ce post, mais fallait bien que je réponde !! En attendant, cherchez la suite....

Peroline a écrit:

Message à Clo : pardon pour l'emplacement de ce post, mais fallait bien que je réponde !! En attendant, cherchez la suite....

C'est bon pour cette fois

Peroline a écrit:

Et alors que Vaudeka s'apprêtait à me révéler le secret de la guérison de sa fille, Agneva se redresse brusquement et plonge ses yeux dans les miens. Au fond, j'y lis la colère et la tristesse.
- Vous ne serez jamais assez brave pour tenter ce périple. Je vous remercie de ce que vous avez fait, mais vous engager davantage dans ma vie serait une folie. Pour vous comme pour moi.

Je n'ose dire mot, estomaqué.

Maintenant, il ne reste qu'à relancer la machine...

Je suis en diesel, laissez moi le temps de chauffer...

Je pense relancer ça ce soir, sauf si quelqu'un est inspiré avant moi. Je posterais au moment de m'y mettre...

Comme promis, j'attaque la suite du texte. D'après mon comptage, ce sera la 14ème contribution...

Euh.....T'aurais pas oublié quelque chose ?

clo a écrit:

Euh.....T'aurais pas oublié quelque chose ?

heing ?

Hé, dites : Je viens de comprendre. J'ai posté pour dire que j'attaquais une suite, pas que je la postais tout de suite...

L'atmosphère est pesante dans la maison Torboyote. Désormais, j'en sais beaucoup plus sur les origines d'Agneva, de l'amour interdit dont elle le fruit. Vaudeuka connaît un moyen de la sauver, de guérir sa fille. Mais la jolie humaine-Torboyotte ne tient pas à ce que je l'aide. Que faire ? Je garde la tête penchée sur mon assiette de céréales, mais je devine le regard désolé de la Torboyotte posé sur moi.
— Soit, Agneva, je vais vous quitter. Merci encore pour votre accueil Vaudeuka, je dois vous laisser, une mission de la plus haute importance m'attend.
— C'est moi qui vous remercie jeune chevalier. Prenez cette gourde, son contenu saura toujours apaiser votre soif. Je vous ai préparé quelques provisions complémentaires pour la route, le sauvetage de ma fille ne vous a que trop retardé et éloigné de votre destination.
J'accepte les présents sans broncher et le temps de finir mon assiette, je range le tout dans mon sac à dos. Agneva garde les yeux baissés et évite mon regard, mais je n'ose diriger mes yeux dans sa direction. Vaudeuka, prise entre deux feux, m'aide comme elle le peut et dans les minutes qui suivent, je suis calé confortablement au fond de ma selle et je commence à m'éloigner de Torboy par la route empruntée la veille. Mon hôtesse a pris la précaution de me fournir une petite broche en forme de bouteille et qui, accrochée à ma chemise, me sert de laisser-passer hors de la ville et du pays des Torboyots. De toute façon, ce matin là, je ne croise personne, tous cuvent de la fête de la veille.
Malgré la mise en garde d'Agneva, je ne cesse de penser à elle et à sa crise à l'Auberge du Faucou Plumé. La rivière, je ne suis plus très loin de la grand route. Tandis que je ramène ma besace sur mon ventre afin de d'orienter mes pensées vers la mission, un pensée me hante, il y a quelque chose qui cloche. Elle sait qu'elle peut être sauvée, mais ne veut pas que je l'aide. Je l'ai abandonnée. D'un autre côté, c'est elle qui t'as demandé de partir et toi comme un imbécile, tu as fait ce qu'elle t'as demandé...
— Avais-je le choix ?
— Oui !
J'ai pensé tout fort, quelqu'un a parlé derrière moi ! Je me retourne aussitôt vers la voix, tandis que ma lame chante en sortant de son fourreau. Un pauvre hère, le visage serein, nullement inquiété par l'épée tendue vers lui vient de sortir d'un bosquet le long de la route.
— Je vous ai entendu penser tout haut, vous avez l'air préoccupé mon ami, partageriez-vous vos réflexions et un peu de pain avec un voyageur affamé et fatigué ?
Je le fixe un moment, les yeux plongés dans son regard malicieux mais sincère.
— Tiens, oui, pourquoi pas !
Tout en rangeant mon épée, je saute à bas de mon cheval, tire sa bride pour le faire sortir de la route et nous installons tous trois sous les premières frondaisons de la forêt qui borde la route. J'attrape le sac que m'a remis Vaudeuka et au moment d'en tirer quelques victuailles, ma main tombe sur un parchemin ! Je le sors afin de l'examiner, quand mon compagnon, lisant par dessus mon épaule, reconnaît la langue Torboyotte et me propose de le déchiffrer.

j'y arrive pas, j'y arrive pas à faire une suite courte...

Dis donc, j'avais pas vu cette suite que Taho! avait proposé avant vous-savez-quoi, et il a grave bien relancé le truc, dis donc !

Ca va pouvoir nous remettre en selle, parce que ce texte il est vachement bien, ce serait cool que les nouveaux s'y collent aussi un peu, non ?...

Dites donc, vous pensez pas qu'on pourra peut-être le faire avancer un peu, ce texte ? Parce que déjà y'a plus grand monde qui y participe, mais en plus, ça commence à se "traîner" et j'ai peur qu'on se lasse....

Non ?

Et les nouveaux : étape obligatoire par ici !!

Moi perso j'ai complètement déccroché de ce texte. En plus il tient tellement à coeur à Taho! que je n'ose pas y toucher de peur de ne pas aller dans son idée à lui.....

Désolée, mais ça ne me dit plus rien...

Bah ! Ma coupine ! C'est surtout ça qui serait le plus triste, non ? Sérieusement...

Mes amis, J'avais eu dans l'idée de reprendre ce texte seul à partir des éléments que nous avions élaboré jusque là. Sauf que je cale. Cette histoire n'était intéressante que parce qu'écrite à plusieurs mains. Que pensez-vous de l'idée de la reprendre avec la possibilité de plusieurs histoires partant dans plusieurs directions ?

Le texte en commun est un exercice que j'affectionne tout particulièrement, je me rends compte que j'arrive plus facilement à trouver de petites idées pour relancer un récit que pour une histoire longue. C'est un manque d'entraînement tout simplement.